les billets

Histoire de conserver en archives, voici les billets du niouseleteureur:

1er septembre 2009
Aïe !
Voilà, dimanche soir, c’était le feu d’artifice de la St-Fiacre. Pour tous les castrogontériens et toutes les malheureuses qui n’ont pas mérité une telle dénomination, c’est le grand plongeon dans le spleen… Au gARage, on dit que ça sent le joint de culasse pas frais et la bielle qui coule… Rhabillés les corps bronzés sur les plages enivrées de sensualité, rangés les barbecues au houblon, terminées les siestes à l’ombre des oliviers sous le soleil toscan. Et revoici le temps des parapluies retournés avenue Carnot, du décompte des camping-cars quai de Lorraine et des joies mornes de la consommation à la Fougetterie: on vous l’a dit, vous y êtes, plus impitoyable que la taxe carbone, plus terrifiante que la grippe A : C’EST LA RENTREE !

Bon.
En même temps, il y a des bons côtés…  (qui a dit « faux cul » !?!)
Ainsi dès ce mois de septembre, le gARage ouvre ses portes pour son Assemblée Générale de l’AGAGG le dimanche 27 à 17h00. C’est ouvert à tous, il suffit juste de cotiser. Précision pour les jeunes padawans, l’AGAGG, c’est l’Association de Gestion Artistique du Garage de la Gare qui administre et anime les manifestations proposées au gARage.

Et puis, pour en revenir au joint de culasse et aux bielles, le gARage accueillera un spectacle qui lui va bien : le samedi 3 octobre à 20h30, CréatureS Compagnie présentera OUAGA-PARIS de Hubert Jégat.

Imaginez un Paris-Dakar à l'envers et des conducteurs-aventuriers venus tout droit de Ouagadougou pour affronter le bitume européen. C'est l'odyssée que vous propose Créatures cie en mêlant musique, vidéo et véhicules-jouets construits en matériaux de récupération.
Créé entièrement en Afrique, le spectacle est conçu comme un échange entre la France et le Burkina. A travers une fable attachante, il évoque les préoccupations des jeunes africains qui ont soif d'une Europe fantasmée, qui les rejette pourtant violemment.
C’est donc à noter dans vos beaux agendas tous neufs…

Ce sera le premier rendez-vous artistique de la saison… ensuite, à la mi-novembre la désormais traditionnelle exposition d’hiver sera  100% Monique Bretéché avec des nouveautés et des pièces non encore présentées au gARage, dans une scénographie originale. Eh oui, tout ça ! (wouah, ben maintenant , elle va flipper la Monique…) Nous vous en reparlerons…

Allez, bon, c’est formidable la rentrée, et puis d’abord j’adore quand la pluie se remet à tomber et… quoi, ? quoi ? je dis n’importe quoi ? Non mais je ne vous permets pas ! Et puis non je suis pas faux-cul ! Je COMMUNIQUE moi, Monsieur, Et toc, Non mais… ah et puis j’oubliais :
Toute l’équipe du gARage vous souhaite une BONNE RENTREE !!!
Quand même…

Le niouseleteureur.


20 septembre 2009
A y est !

 

Le tumulte s’estompe. Les cartables ont pris leurs premières rayures, la pluie s’est invitée, les impôts ont confirmés que cette année encore – hélas- vous ne paieriez pas l’ISF, les soirées d’ouvertures ont vu s’engloutir moult canapés, toasts et vins dans les gosiers moins asséchés que le maïs (car je sais pas si vous avez remarqué, mais il est jaune cette année…), et le nouveau mètre étalon pour passer à la télé en compagnie des stars, c’est de faire moins de 168 cm. Bref, la rentrée : c’est fait !

Ainsi, pour bousculer le train-train qui va nous amener jusqu’à Noël – prochaine destination temporelle de prestige qui marquera une pause sociale et économique- et tout ça au milieu des grippés A et des grippés tout court,  les acteurs culturels ont préparé tout un tas de choses qui éviteront d’assécher les neurones. Oui, parce que là, pour les gosiers ça va. Les petits fours et le champ’, on en peut plus… et dire que certains vont nous parler du ventre toute la saison…


Adonc,  le gARage accueille un spectacle qui lui sied parfaitement :
OUAGA-PARIS de Hubert Jégat
par CréatureS Compagnie  le samedi 3 octobre à 20h30
Théâtre d’objets et marionnettes

Imaginez un Paris-Dakar à l'envers et des conducteurs-aventuriers venus tout droit de Ouagadougou pour affronter le bitume européen. C'est l'odyssée que vous propose CréatureS compagnie en mêlant musique, vidéo et véhicules-jouets construits en matériaux de récupération.
Créé entièrement en Afrique, le spectacle est conçu comme un échange entre la France et le Burkina, entre les comédiens et les musiciens, entre les manipulateurs et les constructeurs de marionnettes. A travers une fable attachante, il évoque les préoccupations des jeunes africains qui ont soif d'une Europe fantasmée, qui les rejette pourtant violemment.
Pour tous dès 5 ans. Durée 50mn.  Entrée 8€, Tarif réduit 6€.
Pensez à réserver, car le nombre de places est limité, et comme d’hab, il y a possibilité de se restaurer à l’issue de la représentation, en réservant impérativement.

Allez, bon, on se retrouve au gARage tout bientôt pour celles et ceux qui feront le voyage africain, et pour les autres en novembre pour parler de la prochaine exposition.
D’ici-là, à vos tubes de paracétamol, à vos pilules, onguents ou vaccins, et pour les fashion-victims : vos talons plats ou la réduction des fémurs !
 
 

18 octobre 2009

OUSSAKAÏ !

D’où on est au gARage, on est pas bien placé pour voir si la montagne est bellllleuuuu. Et puis il y a plus de pigeons que d’hirondelles dans le quartier. Nonobstant, on s’est tous bien rendu compte cette semaine que l’automne était arrivé. On peut même s’imaginer que l’hiver ne va pas tarder.
Mais pourquoi ces remarques météorologiques se dira la lectrice. Le lecteur, lui, n’a pas ces interrogations vu qu’il est encore en train de se demander ce que la montagne foutait là, d’autant que Jean Ferrat, il connaît pas parce qu’il n’a jamais été attiré par les belles moustaches. Bon, ben y prendra en route. Pour répondre à la lectrice donc, c’est que dans l’atelier du gARage, le chauffage n’est pas de mise. Et c’est donc dans la fraîcheur que Monique , oui, oui, LA Monique Bretéché, met en place la future exposition : La TRACE - c’est le titre.

Monic 48

C’est la première fois qu’elle présente seule ses œuvres au gARage. Celles-ci ont été présentées à La Flèche, Nantes, Vertou, à Centrale7, à Pouancé… mais pas encore dans leur berceau. Les visiteurs les découvriront dans une scénographie appropriée et en nocturne. Plus qu’une accumulation, il s’agit de retrouver la trace – d’où le titre pour ceux qui ont du mal à suivre ou qui sont restés scotchés à la montagne-  de cinq ans de travail, et de découvrir son évolution, des volubiles aux colonnes et du verre aux bouchons…
MBretecheROuge

Le résultat de tout cela sera visible du 13 novembre au 13 décembre 2009, les vendredis de 18h00 à 20h00, et les samedis et dimanches de 17h00 à 20h00.
Et juste comme ça, entre nous, il y aura des petits gâteaux et des coups à boire au vernissage le samedi 14 novembre à 18h00, mais bon, le répétez pas trop parce qu’après, bon, on est obligé de ressortir les vieux gâteaux des boîtes déjà ouvertes à la dernière expo et alors ils sont mous et cela fait pas terrible, pour pas dire un peu « cheap » (prononcez tchip sans trop tirer sur le i sinon ça fait mouton, et on se demande ce qu’il fait là, quoique à la montagne, il y en a aussi…).


En parlant d’agapes, nous étions une quarantaine à manger africain le 3 octobre après le spectacle de CréatureS compagnie OUAGA-PARIS. Une belle soirée, en famille pour certains, qui nous encourage dans notre voie : être un pont entre une culture d’éducation populaire™ et une culture plus institutionnelle. Pour cela il importe de garder notre indépendance et notre liberté en restant en marge des financements habituels. Comme le faisait remarquer Maître Poppy pendant la soirée : « En fait, c’est un lieu comme qui dirait alternatif, ici. ». Ben ouais. Allez camarades, encore un effort et on sera définitivement des rebelles!
Après cette profession de foi vibrante qui j’en suis sûr a mis la larme à l’oeil aux plus endurcis, un petit clin – d’œil aussi – aux racines du gARage :

4cv au gARage
(Spécieul sank tou Patrick)


Enfin, nous terminerons sur une note littéraire. Le poète dit qu’aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années. Il dit vrai le poète.
Ainsi au gARage donnons-nous l’exemple : Pierre, ci-devant fils de gARagistes, 21 ans, déjà détenteur d’un BAC+3, élu délégué de classe, vient d’être désigné pour prendre la direction de l’Etablissement de la Fougetterie, plate-forme commerciale leader du Haut-Anjou. 

Y’avait plus de beurre dans le frigo.


Le niouseleteureur.


Billet du 11 novembre.

 

SOUVENIRS, SOUVENIRS.

 

Voilà. Novembre et ses paillettes, sa joie de vivre, son ciel éclatant, ses manifestations pleines d’éclat: la Toussaint, la commémoration de l’Armistice, la chute du Mur.  Que du fun , du sexy, du glamour !
Ce qui n’exclut pas une part d’introspection, si, si…
Hep là-bas, j’en vois qui ricanent au fond…Ceux-là n’ont rien compris !  Eh, oui ! Novembre, c’est le moment de se pencher sur les vraies valeurs : le sens de la vie, l’identité nationale, le cours du dollar, tout ça quoi…  forcément la réflexion exige un minimum d’expérience pour qu’elle soit efficace. Une sorte de retour sur investissement quoi…
Au gARage, on appelle ça la visite des 50 000… on fait un bilan, les niveaux, les pressions, on passe un coup de polish et surtout on vérifie les courroies. Très important les courroies. A retendre quand il faut. Bref, Novembre c’est les FONDAMENTAUX ! Et ça aide ! Sinon entre la grisaille, le plus savoir si on était à Berlin ou à Paris et quand, l’EPR qui retarde, le RER qui vient pas, le téléphone qui marche pas, la télé qui marche, et le « avec tout ça les nouilles sont froides , et j’aime pas les nouilles froides » autant se flinguer !

(Musique fluide et apaisante, style  bossa-nova)
Heureusement le gARage est là pour vous sauver ! Oui, pour vous, le gARage a préparé un élixir de jouvence, une lotion apaisante, une crème spirituelle (!!?).

En se re-penchant sur son histoire, sur ses valeurs, le gARage, et surtout Monique Bretéché, ont trouvé une trace des faits artistiques donnés depuis quatre ans. Nous vous les proposons avec cette nouvelle exposition.
Alors bon, bien qu’elle vive au gARage et que ce soit aussi son atelier depuis déjà cinq ans, c’est la première fois que Monique y présente seule ses œuvres. Celles-ci ont toutes été réalisées au gARage, mais de nombreuses ont été présentées à La Flèche, Nantes, Vertou, à Centrale7, à Pouancé… mais pas encore dans leur berceau. Les visiteurs les découvriront dans une scénographie appropriée et en nocturne.
Plus qu’une accumulation, il s’agit de retrouver la trace (*) de cinq ans de travail, et de découvrir son évolution, des volubiles aux colonnes et du verre aux bouchons…
Comme pour notre dernière exposition d'hiver en 2008 mais à un degré moindre, le visiteur est à nouveau invité à s'immiscer dans l'œuvre et à y laisser, lui aussi, sa trace.(**)

 

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Le vernissage aura lieu  le samedi 14 novembre à 18h00, mais bon, par rapport à la dernière niouseletter, on a mangé les vieux gateaux et donc, vous aurez des neufs, donc pas mous. C’est appréciable. Et puis il y aura aussi un coup à boire et donc il faudra consommer avec modération et que même il faut manger équilibré pour pas être trop gros. A part ça l’entrée est libre. Et c’est ouvert du 13 novembre au 13 décembre 2009, les vendredis de 18h00 à 20h00 et les  samedis et dimanches de 17h00 à 20h00.
(Fin de la musique)

Voilà, nous vous attendons donc nombreux au 14 avenue de la gare ces prochains week-ends. Et nous vous inviterons à un geste artistique simple, certes,  mais bon, ça fait du bien !

Le niouseltereur

PS : Pierre, fils de gARagiste a dû renoncer à la Fougetterie : il se serait appelé Jean S., c’aurait pas été pire…

* D’où le titre.
** Ben, pareil.



Billet du 20 décembre.

Ça sent l’sapin …

D’abord parce que l’exposition La Trace est officiellement  terminée au gARage.  Toutefois elle reste visitable jusqu'à fin janvier sur rendez-vous et un projet est en cours d’élaboration avec une performance dansée. On vous tiendra au courant  si cela se concrétise… A ce jour, plus de 470 visiteurs sont venus découvrir les œuvres oniriques et  inspirées de Monique Bretéché. Qu’elles et ils soient remercié(e)s de leur passage.
Nombre d’entre vous ont vu le reportage sur le vernissage. Pour les autres, c’est ici. Mais bon, vous regarderez après parce que ce n’est pas poli d’arrêter une lecture alors que le rédacteur sue sang et eau pour faire des liaisons intéressantes, et… et voilà, avec tout ça, j’ai perdu le fil. C’est malin. Bon alors… Ah, oui, les œuvres oniriques avec les ressorts, les bouchons et les bouts de verres… Oui, et bien apparemment cela a inspiré les visiteurs qui ont  laissé leur trace au sol. C’est en général bref et précis, mais aussi plein de poésie. En tout cas de la matière pour une utilisation artistique ultérieure.

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Ensuite, la référence au conifère du début, c’est bien sûr Noël. Aaaaah Noël… cette grande fête de l’euthanasie en masse des dindes (nous parlons bien évidemment ici de volatiles…) et de la surconsommation énergétique.  Noël et ses conventions solennelles : « Entre ici, Père Noël, toi et ton cortège de Barbie®  et Playmobil™ … et fais gaffe de pas te brûler en descendant, on vient de remettre une bûche ! »  Bref, la lectrice aura compris que le rédacteur n’est pas spécialement un fan de la période. Pour ne pas dire que Noël, cela lui f... les boules ! (Ah, ça y est, le lecteur a compris aussi). Faudra consulter un jour.

En attendant, cette année pas de vitrine sulfureuse au gARage.  Pas de Santa’s girl dénudée ou de vente de traîneau hybride : que voulez-vous c’est la crise !  Enfin, comme au gARage, on aime bien les idées nouvelles et comme on n’est pas du genre à faire dans le bon sentiment ostentatoire, ce qui suit est déconseillé aux moins de 10 ans, voire aux âmes sensibles. Alors voilà, nous sommes en pleine période de bonhommes rouges partout (sur les fenêtres, les toits, en vitrine…encore que nous ayons l’impression d’une baisse des effectifs par rapport à ces dernières années, il y en a toujours autant que de lapins sur les voies du chemin de fer ou au Camping du Parc), il faut faire quelque chose: Noël ne pourrait-il pas aussi devenir l’occasion d’une nouvelle discipline cynégétique ?
Amusons-nous. Traquons-les, débusquons-les et pour trois PèreNoël® abattus, le gARage vous offre un volubile miniature (Signé MB !). C’est pas beau ça ?  Bien plus fun et économique que les ramener tous en charter au pôle nord (ben oui, sont pas citoyens européens…) Il faudra en parler au ministre, sa crise d’identité passée…


Allez, on se retrouve après les fêtes .  On vous souhaite quand même un joyeux Noël et tant qu’on y est une excellente année 2010 ! Amusez-vous en paix, n’abusez pas des doubitchous et, tenez, pour faire classe, accrochez donc le volubile miniature que vous avez gagné en écrasant un troupeau de rennes au rétroviseur intérieur de votre voiture.
Au moins, ça sentira pas le sapin




Le niouseletereur
.





merenoel oups... pas pu m'empécher.



Billet du 26 janvier 2010.

J-5 …

Ah, il était temps ! Encore un peu et vlan ! Nous étions mis au ban des obligations sociales, pris en flagrant délit de manque de savoir-vivre, gibier de lapidation par les ultras des conventions mondaines, et autres horreurs que j’ose même pas y penser, vu qu’il y a – on le sait – des âmes sensibles qui s’évertuent à lire, le rose aux joues et la chair frémissante, quand bien même la peur d’être choqué les tenaille en une longue extase qui fait du bien…

Alors foin du protocole, allons-y d’un coup, et sabre au clair :
le gARage et les gARagistes vous souhaitent une BONNE ANNEE 2010 !
Et surtout la santé !
Et des sousous dans la popoche !
Et du soleil et des nanas darladiladada !

Bon.
Ça, c’est fait.

Après avoir digéré les pintades, huîtres, truffes, boules, bûches (et liquides accompagnants) ingurgités pendant près de dix jours, puis après la réplique – c’est hélas d’actualité- de brioche de magnitude frangipane, et aussi après avoir repris un rythme de travail taylorien(1), il nous faut bien penser à nos activités à venir, lesquelles vont vous ravir; du moins on espère
.


Ainsi donc, le Bibliothéâtre nous proposera en avant-première « Féminines pluriel ». Le spectacle dessine une douzaine de portraits que trois voix malicieuses et très différentes font entendre à travers leurs histoires d'aujourd'hui. Des textes péchés chez des écrivaines nouvellistes qui racontent nos contemporaines... Ce sera à voir le samedi 3 avril.

Deux dimanches à retenir les 18 avril et 2 mai. D’abord il fera beau, et ensuite vous pourrez admirer toute une collection bien particulière d’estampes et de lithographies. Pour la seule et unique fois puisque vous aurez la possibilité de rentrer chez vous avec une des gravures présentées. Cette manifestation fera l’objet d’une importante communication.

Et puis le printemps cédera le pas à l’été et il sera temps de présenter notre exposition estivale. Cette année Miguel Beudard et Nicolas Chatelain seront en résidence de création au gARage , le tout en vue d'exposer du 18 juin au 18 juillet. Le thème choisi: « autour du garage ».
Miguel a déjà travaillé l'an dernier pour l’Art dans les Jardins en créant FILALINGE. Il a aussi fait des performances avec des peaux de bananes.

Et parce qu’une année sans le Théâtre Artisanal Transgénique c’est comme la chèvre sans Monsieur Seguin, le Nutella sans la biscotte, et Frédéric Lefebvre sans propos affligeants, Bernard Chanteux nous présentera à l’automne « Théo », du dramaturge ligérien Bertrand Chauveau.


Voilà, avec ce programme enchanteur, (sous réserve de changements contractuels…) nous vous laissons naviguer sur la toile. Passez donc au garagedelagare.info , il y a de belles photos de La Trace.


Et allez courage : plus que 332 jours avant l’ouverture de la chasse au Père Noël!

(1) Taylorien : néologisme du gARage ayant trait au taylorisme, système d’organisation du travail fondé sur le contrôle des temps d’exécution afin d’améliorer la productivité. Ne pas confondre Taylorien avec CECI.  (Oui, bon, c’est un peu capillotracté… merci à J-P de faire un aussi beau Tyrolien !)
 
 
le niouseletereur


Billet du 16 février 2010.

TOUT SCHUSS …

Vous étiez prêt ! Les moon-boots, la combi, les lunettes aluminium, le nivéa blanc sur les lèvres et l’écran total sur le reste. En haut le bonnet trônait sur la tête ! Y avait plus qu’à…
Oui mais voilà, la neige c’était il y a trois semaines, et le Bout du Monde ou la Maillardière c’est pas non plus l’Alpe d’Huez. Du coup pour ceux qui sont restés en plaine et qui rêvaient de longues descentes dans la poudreuse, le moral est au bas des tire-fesses.
En comparaison, à Vancouver c’est la fête. Sans rire, il fait 10°C de plus qu’ici !
Alors bon, la déprime s’installe, les jours semblent longs, il fait froid et gris et d’abord c’est ta faute si on avait pris nos congés plus tôt on aurait au moins pu aller chez ma mère alors que là on est coincé et en plus j’ai pas pris mon iphone et je peux même pas… OK, OK, OK !

Zen. C’est comme ça qu’il faut être : zen. Décontracté. Se dire que c’est pas grave. Rire un peu : « la poudreuse on a qu’à s’en faire un rail ! » Mouais…  Rire un bon coup :  « On va se faire l’intégrale des déclarations de Frédéric Lefebvre ! » Bof… 
Alors là, c’est pas la joie. Allez on va prendre un bon vin chaud… Allons au gARage !
On n'est pas en panne ici. On innove avec de la danse, jamais encore montrée au 14, avenue de la gare.
 
L’association angevine  Espace D nous propose en effet une performance dansée au milieu de l’exposition La Trace. Une chorégraphie de 20 à 30 minutes inspirée des œuvres, qui sera présentée une ou deux fois selon le nombre de spectateurs. Ce sera le samedi 27 février à 19h30 et aussi l’ultime occasion de (re)voir La Trace.
L’entrée est gratuite et vous pourrez, comme d’habitude, vous restaurer après la performance. Au menu : pasta à volonté. Participation demandée et réservation impérative afin de prévoir la quantité de sauce !


Ah, bien du coup, on se sent déjà moins mortifié(e). On n’a plus mal là. Et ici non plus… et puis tiens, après le deuxième verre de vin chaud on se dit que neige ou pas neige, maintenant qu’on est là… Allez un troisième pour la route.  Le planté du bâton ! ah ! ah ! ‘t’en ficherais moi du planté d’bâton !
Patins chaussés. Départ* en haut de l’avenue de la Division Leclercq – en face de Chez Pierrick, quoi- On démarre et on prend tout de suite de la vitesse.  Passage au feu : c’est vert.  Rond point des Français Libres : allez zou, on prend à droite en évitant le haricot et c’est la rue du 11 novembre, direction le roquet. Là, faut serrer les fesses. Vraiment. Allez une pensée pour Saint-Christophe et ça passe. Quai de Verdun, ça ralentit beaucoup. Quelques pas de patineur et nous voilà sur le Vieux Pont. On se fait prendre en remorque par une moto qui passait par là. Accélération fulgurante jusqu’au Lagon où on se décroche. Assez d’inertie pour aller jusqu’au bout de l’avenue Foch. Virage à gauche vers la gare. Un dernier effort. Passage de la ligne. Top. 2 minutes 32 secondes. Record. Bouquet. Champagne.

Déprime ? C’est quoi ça, déprime ?

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Consommer avec modération - mais aussi avec d’autres personnes si vous voulez.
Les faits décrits dans les lignes précédentes sont virtuels et faut pas le faire parce que, quand même, c’est dangereux. Sécurité routière, changeons.
Et c’est pas beau de rigoler avec la drogue. Et on doit pas se moquer de Monsieur Lefebvre.


* Pour les non-castrogontériens, vous pouvez vous repérez ICI.
 
le niouseletereur

 

Billet du 19 mars 2010.

 

piou piou cui cui

Il y a des matins, on se réveille avec l’impression de s’être pris une vraie bonne dérouillée. Il y a des gens à qui ça arrive. Si, si ! tenez, pas plus tard que lundi matin, j’en connais qui… le petit Frédéric L. par exemple qui est plutôt du genre à être sur ses ergots dès potron-minet pour sortir avec force conviction élucubrations* en tout genre et inepties à l’avenant… eh bien lundi matin, on aurait dit un V8 culbuté 5 litres double carbu qu’aurait avalé du diesel. Anémié. Pas frais. Il aurait presque fait pitié. Non, j’déconne, ça faisait plaisir à voir, mais quand même…

Et puis il y a des matins, encore dans un demi sommeil, on entend le gazouillis des oiseaux nous chatouiller les oreilles. Des sons dont on n’était plus familier depuis quelques mois… Eh, oui madame ! C’est le printemps !  La fête de l’éclosion, de la nature, du renouveau, de la fécondité. Quoi de plus naturel alors que de célébrer la féminité.  Et puisque le poète a toujours raison, le gARage vous propose de découvrir des textes d’auteurEs avec trois comédiennes-lectrices aux pupitres.
Devenez même VIP en découvrant en avant-première ce spectacle de poche du BiblioThéâtre :

 

On y dessine une douzaine de portraits que trois voix malicieuses et très différentes font entendre à travers leurs histoires d'aujourd'hui...
Ce trio choral (qui fait parfois référence à des chansons) nous raconte une galerie de Femmes comme on parcourt une brève anthologie de nouvelles : durant une heure environ les styles multiples révèlent les nombreux aspects de vie des femmes que des auteures concernées ont choisi de mettre en situations.
La mise en jeu est de Maryse Pauleau et Philippe Mathé.
Ce sera le samedi 3 avril à 20h30 et comme d’habitude il est prudent de réserver. Un dîner vous attend après la représentation si vous le souhaitez (mais là, il faut impérativement nous laisser un message)

Et pendant ce temps, le moineau et le rouge-gorge rivalisent d’acrobaties. Nature ! Que tu es belle. On peut vraiment s’imaginer, en voyant un vol d’hirondelle que le printemps est revenu, quand d’autres, hélas, s’en sont allés.

Et puisqu’au printemps tout bourgeonne autant que l’acné sur les lycéens (ah ben oui, la poésie c’était plus haut, le quota est dépassé maintenant), les idées fleurissent au gARage et nous avons la joie de vous présenter un nouveau concept. Et unique en plus. La maison ne recule devant rien !

Les dimanches 18 avril et 2 mai, venez découvrir le quizz’ARt !

Kézaco ?  Imaginez les murs du gARage garnis d’estampes. Plusieurs centaines ! Vous venez visiter. Jusque là, tout est presque normal.

 

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Mais voilà que vous en avez repéré une qui serait du plus bel effet accrochée entre le grand miroir du salon et la porte de la bibliothèque**.

Vous demandez alors à un « commissaire » de bien vouloir vous poser une question en échange du jeton que vous avez acheté à l’entrée (ce n’est pas obligatoire, l’entrée est libre). « Quelle puissance développait la première Golf GTI ? » vous demande le commissaire (c’est un exemple, les questions sont très variées. Il y en a aussi sur les Citroën BX). « 110ch à 6100 tr/mn » répondez-vous. Vous avez gagné ! L’estampe est à vous et elle trônera le soir même au-dessus du dessin de l’éclaté du moteur EG 001476.
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Venez nombreux, amenez vos amis ! Ce sera un événement artistique et populaire! Si, si !
A la fin de la journée, les murs du gARage réapparaîtront, les œuvres parties vers d’autres cieux, tels des oiseaux s’en allant migrer au printemps.

Eh oui, on y revient ! Pas possible de s’en détacher. Commencerait même à devenir barbant. Et puis que je te roucoule et que je te marche sur le toit. Et ça fiente, et ça piaille ! Bon, les pioupious ça commence à bien faire ! On ne s’entend plus !
Oh ! terminé les cui-cui ! Attends un peu que je te retrouve la 22, y en a qui vont finir déplumés. Non mais alors : vos g…s les mouettes !

 

* Et d’ailleurs, il a les cheveux looooongs… (Les moins jeunes comprendront)
** Bibliothèque où se cache le Colonel Moutarde avec le chandelier. Ah tiens, il y a aussi Mlle Pervenche avec une bougie et … hum ! bon.

 

le niouseletereur

 

Billet du 11 juin 2010.

 

TRIIIIITTTT !


Voici venu le temps des coups de sifflet.

 

D’abord un mea, que dis-je, un mega culpa ! Tout occupé à nos multiples activités nous n’avions pas donné de nouvelles depuis mars et cela commence à faire un bail ; « Es-tu mort ? »  aurait lancé mon aïeule à son mari endormi. Ce à quoi le chœur de majorettes du bourg aurait répondu par un air enjoué quoiqu’un peu martial « Non non non non, l’Espérance n’est pas morte ! »  Autre époque… (et comprenne qui pourra, surtout si vous n’êtes pas de Campbon…)

Triiittt !

Hors jeu. Revenons au présent, ou plutôt au passé simple, celui d’il y a un peu plus d’un mois.
Mais oui ! Le quizz’ARt !  310 visiteurs, 392 estampes présentées. 320 qui ont trouvé preneur  et 393 jetons joués… aux côtés de quelques véritables connaisseurs, la plupart des gens sont venus en famille, dans une ambiance conviviale et bon enfant. Les questions étaient faciles et le but a été atteint : tous ceux qui le souhaitaient sont repartis avec au moins une estampe qui reprend une nouvelle vie… Merci encore à la personne qui nous a permis cet OVNI…(Œuvre Véritablement Non Identifiable)

Triiiittttt !

Mais stoppons là la rétro. Foin du  préambule
Et nous allons sans plus de conciliabule
-Car il est bien temps que l’on vous entreprenne
Sur le sujet qui sur la toile nous amène-
Vous parler donc de la prochaine exposition
« Ah enfin » dites-vous ;  prenons la direction
de l’atelier où travaillent nos deux lascars
qui s’échinent à peaufiner leurs œuvres d’art.

Trriittt !

Oui,oui ! OK. On continue en prose, sinon vous n’êtes pas prêt de le lire, le billet.

Or donc, voilà que depuis le 22 mai, deux artistes ont envahi l’atelier du gARage.
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Un projet élaboré avec Miguel BEUDARD il y a un an, lors de sa participation à L’Art dans les jardins #2. Déjà marcheur de plate bandes, il avait tendu son FILALINGE dans le jardin du gARage au dessus des tomates, entre le mur et le poteau EDF… C’est lui aussi qui distribuait des bananes illustrées ou « à message »… Un accord a été vite trouvé pour laisser libre cours à la créativité du gaillard.
Et puis, comme l’exposition en duo a fait ses preuves, il semblait judicieux que Miguel ait un invité, qui deviendrait celui du gARage. C’est donc Romain NICOLEAU qui complète la paire. D’où aussi le nom de l’expo : Covoîturage.
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Que font-ils à ce jour ? Ils peignent, rabotent, cousent, taraudent, percent, gambergent,… enfin ils bossent quoi…
Le thème choisi étant le lieu lui-même (vous remarquerez le côté pratique… d’aucuns parleront de flatterie, mais baste, laissons ces considérations aux perfides) chacun de nos artistes y est allé de son imagination. Romain présentera deux œuvres : une en vitrine et l’autre dans l’atelier. Il est parti de sa perception de la porte de secours rouge pour en tirer une  construction prenant en compte des éléments présents dans le gARAge, créant une anamorphose – ce qui n’a rien à voir avec une jeune femme de Formose.
Miguel, outre la 2CV dont nous reparlerons plus loin, témoigne d’un goût prononcé pour  les détournements ludiques. Pin-ups, fléchettes et dés sont au programme…
Bref, c’est à découvrir dés le 18 juin… Et justement… à vos rangs !

Trrrriiiiittt !

J’appelle tous les visiteurs à venir me rejoindre pour le vernissage le 18 juin à 18h00

- Eh oui, nous avons dû changer par rapport au message envoyé la semaine dernière… rayez donc le 19 dans votre agenda, et ajoutez le 18… De toute façon c’est comme ça depuis soixante-dix ans : en juin, on fait l’appel du 18. Et c’est pas pour ça qu’il y a le feu…  mouais…
- En plus les intoxiqués ne perdront rien : c’est juste après Slovénie - Etats-Unis et avant Angleterre – Algérie.
Vous pourrez donc découvrir l’exposition et goûter à la fontaine d’huile de vidange vendredi prochain… bon, si vous ne pouvez pas changer de rendez-vous, on aura bien quelque chose pour vous désaltérer le samedi 19.

Bref, parlez-en autour de vous. Et même  - et surtout- en dîner, n’hésitez pas ! Vous verrez alors les yeux s’agrandir et les bouches béer . « Oui je suis allé voir Covoîturage au gARage et j’ai même retenu une nuit dans l’œuvre… »

Trrrrriiit !

 

Car voici la nouveauté :

Le super plan approuvé par Rama Yade : passez une nuit de rêve au gARage .
Nous ouvrons le premier camping indoor monoplace et artistique.
En effet, il vous est possible de réserver une nuit (voire plusieurs) dans la « 2CV tente » de Miguel BEUDARD.
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Et tout cela pour 45€ seulement comprenant pour 2 personnes, le couchage dans l’œuvre d’art, la douche spartiate, et le petit déjeuner.
Alors, réservez vite : le camping au gARage est ouvert en juin les vendredis et samedis et tous les soirs d’ouverture de l’exposition en juillet.
Idéal pour lune de miel, amoureux des sensations, et fragiles du dos (la suspension de la 2CV, c’est quelque chose)



Triiittt !

Et voilà ! C’est la fin du match !
On se retrouve après le deuxième titre de l’équipe de France.
En attendant, et pour rester avec les "deuch", suivez ce lien!



le niouseletereur





Billet du 1er juillet 2010
Carton jaune!

Et alors ! kek çék ça !?
On a l’air de sentir le pas frais ? On est plus dans la VIP list ?

Mais y sont où, mais y sont où, mais y sont où les vi-si-teurs ! Lalalala lala lâ, lalalala lala lâ…

Paske bon, le vernissage avec une cinquantaine de personnes, c’était honorable, mais 15 personnes le week-end dernier : c’est le pénalty direct !
On est comme ça au gARage, on a pas besoin de la vidéo : on vous dit tout, on vous cache rien !

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Bon, il y a deux ans,on était un peu sur le même schéma et au final, le mois de juillet nous a attiré autant de public que la confiture un troupeau de guêpes.
N’empêche… On a du mal à comprendre.
On vous amène sur le terrain deux gars qui n’ont même pas d’écouteurs sur la tête ni de survêtement… on les fait causants, avec des phrases sujet-verbe-complément et tout le toutim… Ils produisent un beau jeu, ils se prennent pas la tête…
Et tout ce que les supporteurs y trouvent à faire, c’est de se la jouer petits joueurs,  genre je remonte dans le bus,  niouseletereur Raymond tu fais la promo, circulez y a rien à voir, allez hop !

C’est le monde à l’envers ! Nous voilà à enguirlander le client alors qu’on devrait lui manger dans la main ... Faut dire qu’au gARage, aucun risque de se faire virer pour un gros mot de trop : tout passe d’abord par la camarade commissaire des expos !  Nan, j’déconne !  Ici, on n’a pas fini de rire. (Et à ce sujet, vous pourrez cliquer sur le lien en fin de billet)

Mais bon, certes, pour les castrogontériens et associés il y a eu la fête de la musique, la Chalibaude, le bac de la grande et le brevet du dernier ET et et et, bien-sûr, le feuilleton des 23 de la « ferme célébrités » perdus en Afsud. 
Le bilan, et sans déballage parlementaire,  c’est qu’avec tout ça il ne vous reste plus que trois ( oui 3!) week-ends pour apprécier covoîturage… je vous raconte pas les embouteillages qu’il va y avoir avenue de la gare !

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C’est ouvert les vendredis de 18h à 20h, les samedis et dimanches et le 14 juillet de 16h à 20h. Et bien sûr l’entrée est libre et les infos sont .

Miguel et Romain, les artistes, eux… sont zens, décontractés du cerveau… le visiteur découvre l’atelier dans une version épurée…
Non, franchement, ça ne mérite pas un coup franc.


Allez ,on vous fait une fleur : il y a encore des places pour dormir au gARage.
Mais si, vous savez : « passez une nuit de rêve au gARage . »
Le premier camping indoor monoplace et artistique.
En effet, il vous est possible de réserver une nuit (voire plusieurs) dans la « 2CV tente » de Miguel BEUDARD.

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Et tout cela pour 45€ seulement comprenant pour 2 personnes, le couchage dans l’œuvre d’art, la douche spartiate, et le petit déjeuner.
Alors, réservez vite : le camping au gARage est ouvert tous les soirs d’ouverture de l’exposition en juillet.
Idéal pour lune de miel, amoureux des sensations, et fragiles du dos (la suspension de la 2CV, c’est quelque chose) Le conseil de Monique : un soir d’orage, la féérie des éclairs sous la voute de l’atelier.

Allez,  pour passer les bonnes vacances  que nous vous souhaitons, faites donc un arrêt au stand au gARage : une petite révision, le plein, et c’est reparti pour un tour !
A bientôt !

Le lien à cliquer dessus

Le niouseletereur



Billet du 14 juillet 2010

Darladirladada


Ce matin vous vous êtes levé d’un bond, le regard vers la ligne bleue de la mer, le corps droit, les fesses serrées mais pas trop, les mains le long du corps. Après une demi-minute de réflexion, vous êtes allé vous asseoir, attiré par l’odeur du café frais, à la table de la cuisine, sur la chaise postée au nord d’où, pour peu que la porte du placard soit effectivement fermée, vous avez une vue stratégique sur le poste de télévision du salon.
C’est de là que s’échappe quelques notes tantôt aux accents martiaux, tantôt aux intonations plus légères, le tout accompagné de bruit de bottes, de sabots, de chenilles métalliques, de moteurs diesel ou de tuyères de chasseur. 

Au gARage on prépare aussi un défilé. Oh, bien plus modeste.  Déjà, il n’y a qu’un fantassin. C’est vous dire comme on ne saurait être accusé de recevoir des enveloppes. L’avantage c’est qu’on a pas besoin de dire après que notre honneur il est lavé, vu qu’on ne donne pas trop le flan pour le salir… On doit être trop malins. C’est ça. Alors que d’autres y sont trop honnêtes : on voit où ça les mènent. Mais revenons à nos manœuvres.

Adonc, afin de conclure en fanfare Covoîturage, nous vous convions à

une performance de Miguel Beudard, 

ce
dimanche 18 juillet à 18h30  au Jardin du Bout du Monde *.

Miguel promènera son gros dé…
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Le reste tient du mystère. Nous vous attendons nombreux avec banderoles, sifflets, et tutti quanti…

Car oui, ce sont déjà les derniers jours de l’exposition de Romain NICOLEAU et Miguel BEUDARD.
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Pour la visiter, il vous reste encore ce mercredi 14 juillet de 16h à 20h, vendredi 16 de 18h à 20h, samedi 17 de 16h à 20h et dimanche 18 de 16h à 18h30 (Oui, on fermera plus tôt because la performance)

Et par là même, c’est aussi les dernières soirées pour profiter du camping indoor et de la 2CV-tente.
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Sont encore disponibles, jeudi 15, vendredi 16 et dimanche 18 ! Soyez nos hôtes privilégiés. Et tout cela pour 45€ seulement comprenant pour 2 personnes, le couchage dans l’œuvre d’art, la douche spartiate, et le petit déjeuner. N’hésitez plus !


Ensuite… ensuite, eh bien au gARage c’est les vacances : les dernières étapes du Tour visionnées en sueur (oui, on aime bien s’identifier… c’est comme ça…), avec le final sur les Champs aussi clinquant qu’aujourd’hui. Après, les voyages, les pizzerias, les vuvuzellas, les nubas, les ananas, darladirladada : bref on espère n’être pas trop fatigués pour aborder la rentrée !
Et surtout pouvoir être prêt, le regard vers la ligne bleue de la Mayenne, le corps droit, les fesses serrées mais pas trop, les mains le long du corps, et recevoir les milliers d’étoiles des explosions impudiques des feux de la Saint-Fiacre.


Pour terminer, voici notre désormais traditionnel rendez-vous cyber-culturel. Nous parlions de la Mayenne. Voici un … alors heu comment dire… voyez-vous, c’est pas à proprement parler du second degré… c’est « du sérieux ». Voilà… du sérieux, et même du lourd.  En cliquant ici.

Bonnes vacances !


Le niouseletereur
 
* Pour les non-castrogontériens, vous pouvez vous repérez ICI.
 
 
 
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